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    Les travaux d'Hercule (1958) - Pietro Francisci

    Le roi Pelias fait venir à  la cour Hercule afin de lui confier l'éducation de son fils Iphitos. Le héros sauve la vie de Iole, la fille du roi dont l'attelage s'est emballé, mais Iphitos, jaloux de son précepteur, part combattre le lion de Némée et trouve la mort. Pelias accuse Hercule et lui demande pour se racheter d'affronter le terrible taureau de Crête. Victorieux, Hercule s'efforce de rendre à  Jason le trône dont Pelias s'est injustement emparé et part en quête de la toison d'or...

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    Les travaux d'Hercule (1958) - Pietro Francisci

     

    Lionello Santi, président de la Galatea Film, a l'idée de remettre au gout du jour le personnage d'Hercule. le titre est sans équivoque : " Les travaux d'Hercule ".
    Pour cela il réunit une équipe dont un certain Mario Bava y fera partie.
    Pour incarner Hercule, il choisit Steve Reeves, culturiste américain et Monsieur Univers 1950 dont l'impressionnante musculature correspond à celle des statues antiques.

    Les exploits du fils de Zeus sont une véritable compilation d'épisodes mythologiques hétérogènes, mêlant ses travaux aux aventures tirées d'autres cycles légendaires, comme l'expédition de Jason et de ses Argonautes partis à la recherche de la Toison d'or. Steve Reeves y campe un Hercule puissant, mais profondément humain, capable d'aimer et de souffrir.

     

     

    Les travaux d'Hercule (1958) - Pietro Francisci

     

    Conscient de sa force et de son potentiel destructeur, le demi-dieu préfère s'en prendre aux colonnes des temples plutôt qu'aux hordes d'assaillants lancées à ses trousses.  

    Fluidité des images, incursions dans une Antiquité fantasmée mais relativement respectueuse, le film a tout de l'esthétique spectaculaire hollywoodienne. L'Italie a enfin trouvé sa voie. Et la formule fonctionne à merveille.
    Pour un coût de 100 millions de lires, le film en rapporte 887 500 000 et se place en tête des succès de l'année.

     

    Les travaux d'Hercule (1958) - Pietro Francisci

     

    Les Travaux d'Hercule reçoit un accueil triomphal comme aucun péplum n'en avait connu jusqu'alors. A l'étranger, la sortie du film, très attendue, passionne les publics européens, et l'Amérique, ne tarissant pas d'éloges, achète même les droits d'exploitation. Le film apporte une fraîcheur nouvelle au genre.

    Ce premier épisode des aventures d'Hercule fait entrer la mythologie gréco-romaine  dans le monde contemporain.

    Les travaux d'Hercule (1958) - Pietro Francisci

    A l'heure des effets spéciaux à gros budget, il sera difficile pour les plus jeunes de se passionner pour ce film " un peu vieillot " mais le charme opère toujours.
    Un regard nostalgique est nécessaire pour apprécier ce péplum à sa juste valeur.
    A voir aussi pour la merveilleuse photographie signée Mario Bava.

    Un navet pour les uns...  œuvre majeure pour d'autres.

    Pour les nostalgiques, pour les rêveurs, pour les cinéphiles,....  Pour vous ! 

     


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    La chaîne (1958) - Stanley Kramer

    Joker Jackson et Noah Cullen sont deux prisonniers en cavale. Evadés d'un camp de travaux forcés du sud des Etats-Unis, les deux hommes, attachés l'un à l'autre par une chaîne d'acier, sont néanmoins séparés par une haine féroce. Implacablement poursuivis par des gardiens et des chiens, ils vont devoir mettre de côté leurs différences s'ils veulent survivre...

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    La chaîne (1958) - Stanley Kramer

     

    Ce film nous conte la  ségrégation raciale en vigueur dans le sud des Etats-Unis depuis la fin de la guerre de sécession. Ces lois ne seront abrogées qu’en 1964.

    C’est un film qui a fait grand bruit lors de sa sortie. Les noirs ayant un premier rôle son rarissimes.
    Sidney Poitier est l’acteur noir qui a su obtenir des premiers rôles dans des films importants concourants aux Oscars. Pour ce rôle il obteint une nomination.

     

    La chaîne (1958) - Stanley Kramer

     

     La distinction raciale est d’emblée exposée lorsque, à l’intérieur du fourgon, Cullen entonne un chant d’esclave, ce qui importune son futur compagnon d’infortune sur le ton du « sale Nègre, ferme ta grande gueule », etc. De même, les préjugés s’accumulent au fur et à mesure des rencontres inopportunes que font les deux évadés tout au long de leur escapade, jusqu’à un village où ils sont pris à leur propre piège, capturés, à deux doigts de se faire pendre : l’ombre des lynchages de Noirs, si fréquents jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, rappelle que la barbarie ségrégationniste n’a pas tout à fait disparu des réflexes primaires.

    En parallèle, et là est peut-être la clé de cette réussite, la poursuite policière s’articule autour du conflit permanent entre deux autres hommes : le shérif Max Muller et le capitaine Franck Gibbons, chargés de la capture des fugitifs. Le premier est humaniste et débonnaire, le second radical et sans pitié. D’un côté le lynchage, de l’autre les chiens dont usaient les esclavagistes pour capturer les Noirs Marrons échappés des plantations : c’est à ces détails que le film forge sa mécanique.

    Un classique du cinéma sur le racisme. Juste l'histoire simple de deux hommes issus de milieux très modestes, qui vont comprendre petit à petit qu'ils ont plus de choses en commun que de différences.

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    La chaîne (1958) - Stanley Kramer

     

    N'oublions pas l'interprétation magistrale de Tony Curtis et de Sidney Poitier.
    Notons a cela que c'est Marlon Brandon qui était pressenti pour ce rôle mais n'était pas disponible en raison du tournage des " Révoltés du Bounty ".
    Tony Curtis a dès lors fait des pieds et des mains pour avoir ce rôle qui le démarquait de ceux de " beaux et gentils garçons ". Après avoir convaincu Stanley Kramer, il insista fortement d'avoir Sidney Poitier comme partenaire.  

    Notons aussi qu'Elvis Presley voulait également ce rôle dans l'espoir que Samy Davis Jr obtienne celui de Noah Cullen.

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    La scène finale de ce film est de toute beauté.
    Ce film est une belle leçon d'humanisme.

     La chaîne (1958) - Stanley Kramer

    De nombreuses récompenses pour ce film dont :

    Meilleur acteur (Sidney Poitier)
    Meilleur réalisateur
    Meilleur scénario
    Meilleure photographie noir et blanc
    Meilleur film américain

     

     

     

     


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  • Le jour où la Terre s'arrêta (1951) - Robert Wise

    Un mystérieux engin volant à une vitesse incroyable est entré dans
    l'atmosphère terrestre, parcourant de nombreux continents, il finit par
    atterrir dans un parc de Washington aux Etats-Unis.

    Un extra-terrestre descend de la soucoupe et demande à rencontrer
    le chef terrien. Des militaires soupçonneux lui tirent dessus,
    l'extra-terrestre est en fait un être ressemblant traits pour traits aux terriens
    et celui-ci est blessé. Un robot descend alors de la soucoupe à l'air
    beaucoup moins sympathique et détruit toutes les armes des militaires
    avant de se poster devant la soucoupe.

    Klaatu, l'extra-terrestre est emmené à l'hôpital. Sa mission était
    de rencontrer les grands responsables de la Terre pour leur transmettre
    le message dont il est porteur. Klaatu vient en paix, pour avertir que si
    les hommes amène leur arme nucléaire dans les fusées, la communauté
    galactique va se fâcher très fort. Plutôt que d’écouter nos bons ricains
    dégainent et le blesse…

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    Ce chef d'œuvre de la science fiction allie les 2 principales peur
    de l'Amérique de l'époque : les Ovnis et la bombe atomique.

      

    31 janvier 1950 : le président Harry Truman autorise la fabrication
    de la bombe à hydrogène. A compter de cette date, les tensions entre
      l’URSS et les USA ne cessent de s’amplifier et un climat de peur s’installe.
    Les films d’invasion "aliens" trustent alors les écrans et matraquent le public
    avec le même message : le danger vient de Mars, la planète Rouge...

    Robert Wise, collaborateur de Welles, reçoit une proposition d’adaptation
    du roman “Farewell of the master” (Harry Bates), il imagine le premier film
    de science fiction mettant en scène un alien non belliqueux.
    Disposant d’un budget assez limité (995 000 dollars), Wise ne peut
    élaborer des plans de foule impressionnants, ni espérer voir une pléiade
    de stars à l’affiche de son projet. Mais n’est-ce pas dans ces conditions
    que l’on reconnaît les hommes de talent ? Wise le prouve grâce à une
    réalisation intelligente et effica
    ce. 

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    Le jour où la Terre s'arrêta (1951) - Robert Wise

     

    Car c’est bien la bêtise et la violence humaine que dénonce Robert Wise
    dans Le jour où la terre s’arrêta. Cupides, traitres, violents, ce n’est pas
    pour rien que son plus proche ami sera ce gamin , trop jeune pour
    avoir été contaminé par la méfiance et l’esprit perverti des adultes qui ne
    savent plus écouter les avertissements.

    Le jour où la terre s’arrêta est un film fondateur de la science-fiction
    au cinéma. Un film qui parvient à la fois à tenir en haleine et à délivrer
    un message social.

     Ce film est un immense classique de film de Science fiction.
    Pas du fait de son potentiel de distraction, mais parce que la SF n'est
    finalement ici qu'un vecteur habile pour pousser le spectateur
    à réfléchir plus globalement à l'humanité. Quoique réalisé en 1951,
    le propos reste furieusement moderne. Sa fin ouverte force à une introspection, au moins fugace. C'est déjà ça de gagné.

     

    Le jour où la Terre s'arrêta (1951) - Robert Wise

     

    Certains verront même dans le film, une représentation moderne et
    allégorique du Christ. Klaatu est l'archétype de Jésus recherchant
    la vérité humaine. Les parallèles avec l'histoire messianique sont nombreux :
    il vient du ciel, se mêle aux hommes sous le nom de Carpenter (charpentier),
    se heurte à leur incompréhension, meurt et renaît pour les sauver et
    le robot veille sur lui tel un ange gardien. Philosophiquement, le film est
    un regard magistral sur les bons et les mauvais côtés de la nature humaine.

    Le jour où la Terre s'arrêta (1951) - Robert Wise

    Le rôle du robot Gort est interprété par Lock Martin qui n'avait rien d'un
    comédien initialement car il était... portier ! Il avait en effet été remarqué
    pour sa taille impressionnante

    N'oublions pas la musique exceptionnelle de Bernard Hermann .

     

     


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  • A Edimbourgh, le célèbre Professeur Oliver Lindenbrook reçoit en cadeau
    une pierre volcanique. Il s'aperçoit rapidement que le morceau de lave
    contient un objet. Un fil à plomb de la plus haute importance sur lequel
    est gravé un message émanant du savant volcanologue Arne Saknussmen,
    dont on a plus de nouvelles alors qu'il avait entrepris de voyager au
    centre de la Terre. Le Professeur Lindenbrook parvient à déchiffrer le
    message. Le passage menant vers le centre de la terre se trouve sur le
    Snuffel, un volcan éteint en Islande. Le Professeur Oliver Lindenbrook
    annonce la nouvelle à son confrère Suédois. Mais ne recevant pas de
    nouvelle de ce dernier il comprend très vite que le Professeur Goetaborg
    à décidé de le doubler. Lindenbrook entreprend alors une expédition,
    accompagné de son élève et futur gendre, Alec McEwen.

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    Voyage au centre de la terre ( 1959 ) - Henry Levin

      

    Ce film est l'une des meilleures adaptations de Jules Verne à l'écran.
    Bien qu'on ait pris quelques libertés avec le roman, l'esprit en a été 
    parfaitement respecté.

    La qualité des décors et des trucages, au charme rétro, reflète sans les
    trahir les rêves suscités par le livre : les images de forêts minérales,
    algues phosphorescentes, déserts de sel, cavernes plantées
    de champignons géants, repaires de monstres préhistoriques
    sont de celles qui s'incrustent dans l'imaginaire du spectateur
    ayant gardé son âme d'enfant.

    Voyage au centre de la terre ( 1959 ) - Henry Levin

    Pour augmenter la portée fantaisiste du métrage, nos héros rencontrent
    les ruines de l’Atlantide et, surtout, une horde de reptiles géants
    agressifs et carnivores. Ceux-ci sont de simples lézards rendus
    gigantesques par d’ingénieux trucages optiques, un procédé généralement
    assez disgracieux mais ici, pour une fois, plutôt convaincant.

     Autre point fort du film : l'interprétation pleine d'humour de Mason en
    savant farfelu et arrogant, donnant un entrain pétillant à tout le film.
    James Mason, qui incarne le Professeur Oliver Lindenbrook dans
    Le Voyage au centre de la Terre, est l'une des plus grandes vedettes
    internationales dans les années 50 et 60.
    Nous n'oublierons pas son interprétation magistral du capitaine Némo
    dans  le magnifique" Vingt mille lieues sous les mers ".

    Voyage au centre de la terre ( 1959 ) - Henry Levin

    En 1960, Le Voyage au centre de la Terre fut nommé dans les catégories
    suivantes lors de la cérémonie des Oscars :
    Meilleurs décors, Meilleurs effets spéciaux et Meilleur son.

    Afin de rendre le plus authentique possible les gigantesques stégosaures
    du film, la production a fait appel au professeur R. Anderson,
    paléontologue renommé basé au Nouveau-Mexique. Un spécialiste
    dont l'expérience a été très bénéfique dans l'élaboration de ces créatures
    réalisées à partir de véritables lézards et grossies à l'aide de
    lunettes optiques.

     

    Voyage au centre de la terre ( 1959 ) - Henry Levin

     

      

      


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    Le train sifflera trois fois

    Hadleyville, une calme petite bourgade de l'Ouest américain. Will Kane vient de mettre un
    terme à ses dangereuses fonctions de shérif pour épouser la jeune Amy, une ravissante
    Quaker. Le couple est sur le point de quitter les lieux. C'est alors que Kane apprend
    la libération de Frank Miller, qu'il a autrefois fait condamner. Frank arrivera par le train
    de midi avec la ferme intention de se venger. En dépit des supplications d'Amy, Kane
    décide de retarder son départ pour affronter le bandit, par ailleurs attendu par ses cruels
    acolytes. Il compte sur les habitants de Hadleyville, mais ceux-ci se défilent...

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    Le train sifflera trois fois - Fred Zinnerman - 1952

     

    Ce classique multi oscarisé du western fut écrit par Carl Foreman, scénariste de
    gauche et, à ce titre, victime du maccarthysme à Hollywood au début des années 1950.
    L'allégorie du Train sifflera trois fois est claire : derrière la couardise des habitants
    de Hadleyville, c'est la passivité des Américains face à la chasse aux sorcières
    que stigmatise Foreman. Mais si ce film impressionne toujours aujourd'hui, il le doit
    surtout à son efficacité dramatique. Le suspense est créé par un récit en temps réel
    et alimenté en permanence par les gros plans d'horloge : l'angoisse augmente au
    fil des minutes et, avec elle, la détresse du shérif abandonné de tous.
    Un ample mouvement d'appareil en contre-plongée souligne la solitude désabusée
    de Will Kane (l'immense Gary Cooper) dans la grande rue désertée avant le règlement de compte final. (
    Samuel Douhaire ) 

    Le train sifflera trois fois - Fred Zinnerman - 1952

     

    Voici ce que disait le scénariste Carl Foreman  à Bertrand Tavernier pour le N°102
    de Positif

    : « Au début, quand j'ai écrit le scénario, je voulais en faire une parabole sur l'ONU.
    Mais tout à coup, la menace de la Commission des Activités Anti-américaines
    s'est précisée. Ils se dirigeaient vers Hollywood
    [ ...] Et la peur a commencé à grandir,
    une peur insidieuse qui envahit peu à peu toute la ville. J'ai décidé alors de changer
    d'optique et d'écrire une parabole sur Hollywood et la maccarthysme. Pendant la
    fabrication du film, je reçus un petit papier rose me convoquant devant la commission
    et je me suis trouvé rapidement dans la situation de Gary Cooper. Mes amis m'évitaient.
    Quand je voulais voir quelqu'un, il n'était pas là... je n'ai plus eu qu'à transposer
    certains dialogues dans un cadre de western pour obtenir High Noon
    . »

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    Le train sifflera trois fois - Fred Zinnerman - 1952

    Gary Cooper, très malade sur le plateau (il était en train de mourir d'un cancer auquel il
    fit face neuf ans) s'est défoncé et a "profité" de sa faiblesse physique pour nous laisser
     le plus somptueux rôle d'anti-héros de l'histoire du cinéma.

    Un film à la mise en scène d'une maîtrise absolue, au delà d'un très bon western, le film
    est un des meilleurs en temps réel...La tension est presque palpable à chaque plans,
    les personnages, le sujet, l'interprétation de Gary Cooper font du Train sifflera trois fois,
    un western psychologique hors norme, un classique indémodable qui surpasse
    aisément certains films actuels du même genre.

    Un film très humain ou la psychologie l'emporte sur l'action.

    Notons aussi que :

     

    Le train sifflera trois fois - Fred Zinnerman - 1952



    - La chanson Do Not Forsake Me, Oh, My Darlin' est chantée
    par Tex Ritter. Elle a été reprise en français par John Williams sous le titre
    Si toi aussi tu m'abandonnes.
     - Le train sifflera 3 fois marque les débuts de Lee Van Cleef au cinéma.
    - C'est aussi le premier grand rôle pour Grace Kelly.

    Le train sifflera trois fois - Fred Zinnerman - 1952

    Et aussi :

     

    Le film fut distingué aux Oscars de 1952 :

     

    • Oscar du meilleur acteur pour Gary Cooper
    • Oscar du meilleur montage pour Elmo Williams et Harry Gerstad
    • Oscar de la meilleure musique pour Dimitri Tiomkin
    • Oscar de la meilleure chanson pour Dimitri Tiomkin (musique)
      et Ned Washington (paroles)
    • Le film avait aussi été nommé dans les catégories Meilleure mise en scène,
      Meilleur film et Meilleur scénario.
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